La Syrie s’est installée dans une économie de guerre, où la priorité est d’assurer le pain et la nourriture, mais malgré les sanctions et les destructions, l’économie ne s’est pas effondrée et la monnaie, bien qu’affaiblie, n’a pas rendu l’âme.
Le PIB a été presque divisé par deux depuis 2010, la dernière année avant le conflit, et le régime a été touché par des sanctions internationales et la perte de champs pétrolifères pris par les rebelles.
Mais l’économie a jusqu’à présent évité l’effondrement complet, grâce à un soutien financier crucial des principaux alliés de Damas, la Russie et l’Iran. Ci-joint lien vers un article paru dans L’Orient-le-jour du 14/03/2014 :